vendredi 1 avril 2011

Muse - Map Of The Problematique (HAARP)

Je me sens nostalgique lorsque je regarde cette vidéo...
Je n'oublierai jamais ce moment où Matthew est entré sur la scène du Stade de France... Mon tout premier concert.





Et parfois, c'est vrai, même si je ne troquerais pour rien au monde ce que je vis actuellement avec White Lies, je regrette cette douce époque où j'étais monothéiste. Cette époque où je ne jurais que par Muse et Bellamy.  Je crois qu'avant leur arrivée dans ma vie, je n'aurais jamais pu utiliser le mot "fan". Des groupes, j'en ai aimé. Des chansons qui m'ont transcendée bien avant les leurs, il y en a eu un paquet. Des artistes venus s'immiscer dans mes rêves, il y en a eu une ribambelle avant eux. Mais jamais auparavant je n'avais aimé un artiste/un groupe comme je les aimés. Et comme je les aime toujours. Jamais auparavant je n'avais aimé une discographie dans sa quasi-totalité, comme c'est le cas pour la leur. Jamais auparavant je n'avais retenu le nom d'un batteur ou d'un bassiste, je l'avoue. Et jamais auparavant je n'avais autant admiré quelqu'un autant que Matthew. Et même à ce jour, il demeure encore à mes yeux le modèle par excellence.
Et, même si à présent, d'autres les ont remplacés au sommet du piédestal de mon coeur, même si ils ne m'ont jamais autant émue que White Lies, même si ce n'est pas à eux que je dois les dix plus beaux jours de ma vie, ils sont le point de départ de tout. Sans eux, peut-être que je serais passée à côté des plus belles heures de ma vie.
Ils ont été ma première religion, et je ne cesserai jamais de les aimer.

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